TIM HOLEHOUSE [UK] - FOREST POOKY @ HOUSE SHOW, LYON, FR - 10/04/2013
En ce mercredi 10 avril où selon le dicton, dans la campagne tout est vert c'est un house show qui se profile. En effet, le barbu FOREST POOKY accompagné du non moins barbu TIM HOLEHOUSE viennent squatter les canapés de Yann Culture Punk.
La particularité des house show, c'est que tu connais quasiment tout le monde et que tout le monde te connaît, ce qui n'est pas le cas normalement en concert. L'ambiance est donc bien plus conviviale et joueuse. Enfin, si on oublie les voisins.
C'est FOREST POOKY qui débute devant un par terre de pélos prêt à l'écouter. Il commence comme sur l'album par un combo « Deaf House » / « Walking around the block », histoire de se mettre en jambes. L'atmosphère est chaleureuse avec moins d'une quinzaine de personnes. On connaît tous Forest pour l'avoir déjà vu jouer ; le public est donc déjà conquis. De toute façon, pas moyen de s'échapper. Du coup, Forest nous demande quelles chansons nous voulons qu'il joue. Marrant. On valide sa playlist tout en sachant pertinemment qu'il n'aura pas le temps de l'écouler entièrement. Il enchaîne donc avec Lullabies écrite sur sa peur du noir.. « sur l'Afrique » ajoute-t-il. Ah ah ! Il joue avec Fred, son acolyte au temps de feu-The Pookies qui fait les percu à côté (sur un matelas rebondissant). C'est pas dégueulasse du tout, ça rempli complètement la pièce. Comme en studio quoi. Mais en mieux. « Rooftops » est ensuite servie bien punchy, à l'image de sa voix bien puissante -et toujours juste ! Entre chaque chanson, il balance des petites blagues. C'est super cool. Sauf que du coup on les connaît déjà toutes ses vannes ! C'est pas grave, c'est drôle quand même. Surtout qu'il nous parle de quelques expériences de route et de concerts avec Tim. Et ça donne envie de partir avec eux tellement on a l'impression qu'ils y prennent du fun ! « The darkness comes » est demandée par les personnes présentes. Il hésite un peu pour les voisins.. mais on s'en fout. Enfin peut être pas Yann. Et c'eut été dommage de ne pas l'avoir entendu celle-là parce qu'elle est super cool. En parlant des voisins, ils doivent apprécier le concert. Forest et Tim étaient allés les prévenir en personne, les invitant à venir. Bon, ils sont pas venus. Avec moins de quinze personnes devant lui il arrive tout de même à imposer son ambiance bien particulière. Ce qui est cool avec Forest, c'est qu'il est à fond quoiqu'il arrive. Appréciable. Il voulait faire « our greatest won't disapear » mais finalement on lui demande de faire « Soul Dealer ». Peut être ma préférée au passage. Et ce fut un régal, une parfaite touche finale. Tellement géniale que je crois même avoir joui un peu. (vidéo)
Et c'est chapeau vissé sur la tête que le tout-de-poils-barbu TIM HOLEHOUSE vient nous poser son blues emprunt de sa voix rocailleuse. Stakhanoviste de la route c'est la troisième fois que j'ai la chance de le voir en un peu plus d'un an. Je l'avais découvert chez moi, déjà lors d'un house show et j'avais pris ma petite fessée déjà. Et c'est la première fois que je le vois sobre ! Il place d'emblée son atmosphère limite suffocante, prenante de mélodies douces et hâtives et de sa voix de bluesman américain à la Howlin Wolf. Il nous raconte ses histoires de vie dans le plus pur style susmentionné et tout le monde est happé par son charisme. Il enchaîne d'une chanson a cappella -voix seule, sortie d'on-ne-sait-où et catchy à souhait. « Broken Bones » est enchaînée directement avant une chanson qu'il dédie au whisky Jack Daniel's. Excuse pour nous raconter la date passée chez moi où dès la deuxième chanson il avait déjà bu les deux tiers de la bouteille. Avec cette chanson et encore une fois, que ce soit posé ou dansant, il nous a. Les trois dernières chansons se font au banjo et go back to the south of USA ! Sa voix se marie tellement bien avec l'instrument, c'est une tuerie. Il parle de son pote GIPSY RUFINA -qui est peut être le mec le plus gentil au monde- et nous conseille d'aller le voir si on en a l'occasion. Et moi aussi je vous le conseille ! Dernière chanson. Banjo + percu avec Fred. Gros fail. Il la fera à la guitare du coup et avec les clappements de mains/pieds/poitrines des gens. Plus convivial. Histoire de finir en beauté. Putain merde, c'est déjà la fin... (vidéos ici et là)
Encore une bonne soirée passée chez Yann Culture Punk !
La particularité des house show, c'est que tu connais quasiment tout le monde et que tout le monde te connaît, ce qui n'est pas le cas normalement en concert. L'ambiance est donc bien plus conviviale et joueuse. Enfin, si on oublie les voisins.
C'est FOREST POOKY qui débute devant un par terre de pélos prêt à l'écouter. Il commence comme sur l'album par un combo « Deaf House » / « Walking around the block », histoire de se mettre en jambes. L'atmosphère est chaleureuse avec moins d'une quinzaine de personnes. On connaît tous Forest pour l'avoir déjà vu jouer ; le public est donc déjà conquis. De toute façon, pas moyen de s'échapper. Du coup, Forest nous demande quelles chansons nous voulons qu'il joue. Marrant. On valide sa playlist tout en sachant pertinemment qu'il n'aura pas le temps de l'écouler entièrement. Il enchaîne donc avec Lullabies écrite sur sa peur du noir.. « sur l'Afrique » ajoute-t-il. Ah ah ! Il joue avec Fred, son acolyte au temps de feu-The Pookies qui fait les percu à côté (sur un matelas rebondissant). C'est pas dégueulasse du tout, ça rempli complètement la pièce. Comme en studio quoi. Mais en mieux. « Rooftops » est ensuite servie bien punchy, à l'image de sa voix bien puissante -et toujours juste ! Entre chaque chanson, il balance des petites blagues. C'est super cool. Sauf que du coup on les connaît déjà toutes ses vannes ! C'est pas grave, c'est drôle quand même. Surtout qu'il nous parle de quelques expériences de route et de concerts avec Tim. Et ça donne envie de partir avec eux tellement on a l'impression qu'ils y prennent du fun ! « The darkness comes » est demandée par les personnes présentes. Il hésite un peu pour les voisins.. mais on s'en fout. Enfin peut être pas Yann. Et c'eut été dommage de ne pas l'avoir entendu celle-là parce qu'elle est super cool. En parlant des voisins, ils doivent apprécier le concert. Forest et Tim étaient allés les prévenir en personne, les invitant à venir. Bon, ils sont pas venus. Avec moins de quinze personnes devant lui il arrive tout de même à imposer son ambiance bien particulière. Ce qui est cool avec Forest, c'est qu'il est à fond quoiqu'il arrive. Appréciable. Il voulait faire « our greatest won't disapear » mais finalement on lui demande de faire « Soul Dealer ». Peut être ma préférée au passage. Et ce fut un régal, une parfaite touche finale. Tellement géniale que je crois même avoir joui un peu. (vidéo)
Et c'est chapeau vissé sur la tête que le tout-de-poils-barbu TIM HOLEHOUSE vient nous poser son blues emprunt de sa voix rocailleuse. Stakhanoviste de la route c'est la troisième fois que j'ai la chance de le voir en un peu plus d'un an. Je l'avais découvert chez moi, déjà lors d'un house show et j'avais pris ma petite fessée déjà. Et c'est la première fois que je le vois sobre ! Il place d'emblée son atmosphère limite suffocante, prenante de mélodies douces et hâtives et de sa voix de bluesman américain à la Howlin Wolf. Il nous raconte ses histoires de vie dans le plus pur style susmentionné et tout le monde est happé par son charisme. Il enchaîne d'une chanson a cappella -voix seule, sortie d'on-ne-sait-où et catchy à souhait. « Broken Bones » est enchaînée directement avant une chanson qu'il dédie au whisky Jack Daniel's. Excuse pour nous raconter la date passée chez moi où dès la deuxième chanson il avait déjà bu les deux tiers de la bouteille. Avec cette chanson et encore une fois, que ce soit posé ou dansant, il nous a. Les trois dernières chansons se font au banjo et go back to the south of USA ! Sa voix se marie tellement bien avec l'instrument, c'est une tuerie. Il parle de son pote GIPSY RUFINA -qui est peut être le mec le plus gentil au monde- et nous conseille d'aller le voir si on en a l'occasion. Et moi aussi je vous le conseille ! Dernière chanson. Banjo + percu avec Fred. Gros fail. Il la fera à la guitare du coup et avec les clappements de mains/pieds/poitrines des gens. Plus convivial. Histoire de finir en beauté. Putain merde, c'est déjà la fin... (vidéos ici et là)
Encore une bonne soirée passée chez Yann Culture Punk !
**Erick**
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