RVIVR [USA] - DOGJAW [USA] - NO GUTS NO GLORY - BITPART @ LE WARM'AUDIO, LYON, FR - 28/03/2013
Ce Jeudi 28 Mars, où la fleur d'avril ne tient qu'à un fil, le Warm'audio accueille les petits rôles de BITPART, les sans courage et sans éclats NO GUTS NO GLORY, les chiennes de DOG JAW et les survivants de RVIVR !
C'est BITPART qui commence. C'est un genre de punk noisy bizarre. J'accroche pas du tout. Tant pis.
Les gars de NO GUTS NO GLORY montent sur scène et dégainent direct leur hardcore comme ils savent le faire. Les frenchies à l'image de leur chanteur savent envoyer sans se poser de questions. C'est dès la troisième que les choses sérieuses débutent. En général c'est difficile et un peu brouillon quand il y a plus de quatre personnes sur scène jouant en même temps. Là, c'est pas le cas, ça doit répéter dur parce que c'est bien carré et audible à l'image de « Two Sides ». Cool. Le chanteur a un peu moins de charisme entre les chansons que pendant mais c'est pas très grave. Mieux vaut ça que l'inverse. Ça hoche sa tête de haut en bas dans le public, c'est un signe. Finalement, ils nous expédient les trois dernières chansons sans pauses -presque- et nous expulsent à coups de « Dry River ».
Le temps de fumer une des clopes et draguer essayer de draguer la photographe et c'est reparti.
DOGJAW s'installe sur la scène. Bon. Ce sont des filles qui chantent. J'aime pas ça en général, ça me saoule parce que je trouve que ça manque généralement de couilles. Sauf exceptions bien sûr. Ici c'est pas le cas. Je ne trouve pas ça à chier non plus mais ça m'a pas foutu de claques à la BURNING LADY. Ça envoie quand même bien. La mise en scène est originale, c'est en face à face ; donc de profil au public. Esthétiquement rare à voir, j'aime bien l'idée de ne pas forcément faire face au public. Ainsi les deux chanteuses sont plus dans une conversation que dans l'explication d'un message. Bref, c'est bien dommage.
Je vais me consoler en allant manger les sublimes tartines que le Warm'audio cuisine parfaitement. Un régal. Leur tartoches végèt' cassent carrément des culs.
Le clou du spectacle s'est fait attendre. La lumière baisse puis s'allume instantanément, les premiers accords déchaînent un flot d'hystérie dans le public. Ça chante partout en cœur. Bon sang, ce n'est que la première chanson... En même temps, ils étaient attendu après tout ce temps et chose cool, RVIVR n'a pas perdu son sens du don ! C'est fait à l'ancienne, le charisme du chanteur (en jupe ce soir là) n'est plus à vérifier tout comme l'efficacité des refrains. Ça sent le gymnase, ça se trémousse cordialement selon certains morceaux. Beaucoup moins cordialement selon d'autres. Ça joue sans temps morts, comme s'ils cherchaient à rattraper du temps pour jouer encore plus longtemps. Ça s'enchaîne, s'enchaîne, à nous épuiser. Ils donnent tout. Et nous recevons gaiement. Un bref instant de repos et ils nous défoncent avec une nouvelle capsule de bombe atomique. On en redemande et heureusement, ils nous en redonnent. C'est robotique d'enchaîner à une telle cadence. Impossible de respirer. Incroyable ! Rythmique, décadent, assommant. Jouissif.
Un bon concert organisé par Jeff et Laureline ! **Erick**
C'est BITPART qui commence. C'est un genre de punk noisy bizarre. J'accroche pas du tout. Tant pis.
Les gars de NO GUTS NO GLORY montent sur scène et dégainent direct leur hardcore comme ils savent le faire. Les frenchies à l'image de leur chanteur savent envoyer sans se poser de questions. C'est dès la troisième que les choses sérieuses débutent. En général c'est difficile et un peu brouillon quand il y a plus de quatre personnes sur scène jouant en même temps. Là, c'est pas le cas, ça doit répéter dur parce que c'est bien carré et audible à l'image de « Two Sides ». Cool. Le chanteur a un peu moins de charisme entre les chansons que pendant mais c'est pas très grave. Mieux vaut ça que l'inverse. Ça hoche sa tête de haut en bas dans le public, c'est un signe. Finalement, ils nous expédient les trois dernières chansons sans pauses -presque- et nous expulsent à coups de « Dry River ».
Le temps de fumer une des clopes et draguer essayer de draguer la photographe et c'est reparti.
DOGJAW s'installe sur la scène. Bon. Ce sont des filles qui chantent. J'aime pas ça en général, ça me saoule parce que je trouve que ça manque généralement de couilles. Sauf exceptions bien sûr. Ici c'est pas le cas. Je ne trouve pas ça à chier non plus mais ça m'a pas foutu de claques à la BURNING LADY. Ça envoie quand même bien. La mise en scène est originale, c'est en face à face ; donc de profil au public. Esthétiquement rare à voir, j'aime bien l'idée de ne pas forcément faire face au public. Ainsi les deux chanteuses sont plus dans une conversation que dans l'explication d'un message. Bref, c'est bien dommage.
Je vais me consoler en allant manger les sublimes tartines que le Warm'audio cuisine parfaitement. Un régal. Leur tartoches végèt' cassent carrément des culs.
Le clou du spectacle s'est fait attendre. La lumière baisse puis s'allume instantanément, les premiers accords déchaînent un flot d'hystérie dans le public. Ça chante partout en cœur. Bon sang, ce n'est que la première chanson... En même temps, ils étaient attendu après tout ce temps et chose cool, RVIVR n'a pas perdu son sens du don ! C'est fait à l'ancienne, le charisme du chanteur (en jupe ce soir là) n'est plus à vérifier tout comme l'efficacité des refrains. Ça sent le gymnase, ça se trémousse cordialement selon certains morceaux. Beaucoup moins cordialement selon d'autres. Ça joue sans temps morts, comme s'ils cherchaient à rattraper du temps pour jouer encore plus longtemps. Ça s'enchaîne, s'enchaîne, à nous épuiser. Ils donnent tout. Et nous recevons gaiement. Un bref instant de repos et ils nous défoncent avec une nouvelle capsule de bombe atomique. On en redemande et heureusement, ils nous en redonnent. C'est robotique d'enchaîner à une telle cadence. Impossible de respirer. Incroyable ! Rythmique, décadent, assommant. Jouissif.
Un bon concert organisé par Jeff et Laureline ! **Erick**
Les photos et vidéos de Noodle ici
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