GLI ULTIMI [ITA] – GAS ATTACK [ITA] – ANXIETY ATTACK – DON'T NEED YOU @ THE REVENGE PUB, LILLE, FR – 07/01/2012

Ça y est !! Enfin un concert. 3 semaines sans, ça commencait à faire long..., et j'ai bien fait d'y aller !!! J'arrive au rade, DON'T NEED YOU est en train de jouer... Tiens, ils n’étaient pas annoncés. Je ne verrai que 2 morceaux de ce jeune groupe lillois. Punk-hardcore à l'ancienne. J'aime beaucoup. C'est le moment de dire bonjour à tous mes amis « de concerts ». En plus de ça, on se souhaite nos vœux pour la nouvelle année... J'aime pas trop ça. On règle quelques trucs non réglés pendant cette trêve hivernale et c'est au tour d'ANXIETY ATTACK de nous proposer leur set. Fort de maintenant 40 concerts, le groupe a pris une aisance plus visible sur scène, leur punk-hardcore, lui aussi à la sauce 80's fait des émules dans le public. Ça pogote virilement, ça chante dans le micro, ça se casse la gueule. Bref 25 minutes très rentre-dedans, on aura le droit à des nouveaux morceaux si je me fie au public... lorsqu'il ne chante pas. C'est maintenant au tour des Italiens de GAS ATTACK, du punk-hardcore super technique, le chant me fait grave penser à Jello Biaffra. Ça va dans tous les sens, le groupe a une certaine prestance sur scène, c'est beau à voir, ça re-pogote sévèrement, ça se suspend aussi... bref un gros rouleau compresseur que ce groupe de Rome. À revoir absolument !!! Et pour finir la soirée, on aura de droit à de la Oi! dans le pur style italien an provenance de Rome également, c'est super carré, ça chante en italien, y'a plein de « OhOhOhOh » pas trop de « Oi! Oi! Oi! », c'est moins le « brun » que devant GAS ATTACK mais le public est plus attentif. GLI ULTIMI donneront une leçon de oi-streetpunk aux zicos de la salle. Espérons qu'ils aient retenu la leçon, moi je l'ai retenue. Ça le ferait un groupe Oi! de cette classe à Lille. Je repars avec un 12'' d' Evil Conduct... yeah. Petit after à l'[Art]gressif où TRONCKH y jouait plutôt dans la soirée. Bah cette première sortie de 2012 m'aura permis de revoir beaucoup de monde, et ça... ça n'a pas de prix. **DeWarlaing**